Over 1,000 ethnic Chinese may have been killed in spasms of anti-Chinese violence that struck North Sumatra, Aceh, Kalimantan, and Bali in the aftermath of an attempted coup in 1965, although the vast majority of hundreds of thousands killed in the anti-communist pogrom that accompanied Suharto's coming to power were non-Chinese Indonesians.
Il se peut que plus de 1 000 membres de la communauté chinoise aient été tués au cours des accès de violence contre les Chinois qui se sont produits dans le nord de Sumatra, à Aceh, Kalimatan et Bali à la suite de la tentative de coup d'État de 1965, alors même que la vaste majorité des centaines de milliers de personnes tuées lors du pogrom anticommuniste qui a accompagné l'arrivée au pouvoir de Suharto étaient des Indonésiens non chinois.