I challenged the Canadian Association of Chiefs of Police on this, and on November 17, 2011, I was sitting in the parliamentary committee on this when one of the representatives from the Canadian Association of Chiefs of Police admitted that their queries were automated, meaning that if a police officer goes to an 80-year-old woman's house for a barking dog complaint, that house is automatically checked against the firearms registry.
J'ai confronté l'Association canadienne des chefs de police à ce sujet, et le 17 novembre 2011, alors que j'assistais à la séance du comité parlementaire saisi de la question, j'ai entendu un des représentants de l'association admettre que leurs requêtes étaient automatisées. Cela signifie que si un policier se présente à la résidence d'une dame de 80 ans parce que quelqu'un s'est plaint des aboiements de son chien, on vérifie automatiquement si l'adresse en question se trouve dans le registre des armes à feu.