On the one hand, these are rights which all the States have endorsed and which constitute the shared foundation of our criminal justice systems, and, on the other hand, mutual recognition is a process which is by no means automatic and which depends on the nature of the judgement in question.
D'une part, il s'agit de droits auxquels tous les États ont réaffirmé leur attachement et qui constituent le socle commun des systèmes de justice pénale, d'autre part la reconnaissance mutuelle est un processus qui n'a rien d'automatique et qui dépend de la nature de la décision concernée.