The Asian crisis has involved bank exposure to other banks and to non-banks and not exposure to sovereign risk as had been the case in 1982, when Mexico’s default was followed by virtually every country in Latin America, and in 1994 when there was a near-default by Mexico.
La crise asiatique comporte une vulnérabilité des banques à l’égard d’autres banques et d’institutions non bancaires plutôt qu’une vulnérabilité à l’égard du risque souverain, comme cela avait été le cas en 1982, lorsque le défaut de paiement du Mexique a été suivi par celui de presque tous les pays latino-américains, et en 1994, lorsque le Mexique est passé à un cheveu de manquer à ses engagements.