Given this climate, to speak of change would mean sharing power with rivals; but, for us, the church and civil society, the first change would be to accept tolerance as an issue of survival which is, therefore, necessary, from the foundations to the roof, from the political parties to the government, from civil society and the churches themselves to the national project.
Dans ce climat, parler de changement reviendrait à parler d'alternance du pouvoir avec le rival ; mais pour nous, l'église et la société civile, le changement ce serait déjà accepter la tolérance comme question de survie qui s'impose de la base au sommet, des partis politiques au gouvernement, de la société civile et des églises elles-mêmes au projet national.