In a simply remarkable speech given recently by the Secretary-General of the United Nations, Kofi Annan, he acknowledged the UN's culpability and that of its member states for passing resolutions holding out safe havens, as the UN did in 1995 in Srebrenica, following which the international comm
unity stood idly by watching the Serbian slaughter of over 7,000 innocent victims who, with belief and conviction in the words of the international community, raced headlong for protection under the blue and white flag of the United Nations only to be helplessly slaug
htered while the TV cameras ...[+++] looked on.
Dans un discours simplement remarquable qu'il a livré récemment, le secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, a reconnu la culpabilité de l'ONU et de ses États membres qui ont adopté des résolutions visant à préserver des zones sûres, comme l'ONU l'avait fait en 1995 à Srebrenica, de sorte que par la suite la communauté internationale avait passivement été témoin du massacre serbe de plus de 7 000 victimes innocentes qui, croyant les paroles de la communauté internationale, s'étaient avancées sous le drapeau bleu et blanc des Nations Unies seulement pour être massacrées sous l'oeil des caméras de télévision.