Our paper mills and aluminum plants, which have made a huge effort to reduce their emissions with reference to 1990, the reference year in the Kyoto Accord, could already be selling carbon credits on the foreign market and on the European carbon exchange, which would bring them huge amounts of money.
Nos papetières et nos alumineries, qui ont fait l'effort gigantesque de réduire leurs émissions par rapport à 1990, l'année de référence du Protocole de Kyoto, pourraient déjà vendre des crédits de carbone sur le marché étranger et sur la bourse européenne du carbone, ce qui pourrait leur rapporter des sommes faramineuses.