In contrast to nuclear security, which is where much of the misconceptions come from, where the technologies are highly centralized, capital-intensive, require state action, the knowledge is classified and there is a single choke point — if you control the plutonium and the highly enriched uranium — biosecurity involves technologies that are widely decentralized, not capital-intensive, can be used by non-state actors — and this is really the fear — the knowledge is widely available and there is no single choke point.
Contrairement à la sécurité nucléaire, source de bon nombre de conceptions erronées, domaine où les technologies sont fortement centralisées, qui exige beaucoup de capitaux et l'intervention de l'État, où les connaissances sont secrètes et où il n'existe qu'un seul goulot d'étr
anglement — si l'on contrôle le plutonium et l'uranium fortement enrichis —, la biosécurité met en cause des technologies qui sont très décentralisées, n'exigent pas beaucoup de capitaux, peuvent être utilisées par des intervenants non étatiques — c'est vraiment ce que l'on craint —, où les connaissances sont du domaine public et où il n'existe pas un seul goulot d
...[+++]'étranglement.