They often return to a civilian society that is “ill-equipped to appreciate, recognize or deal with their needs” and “should they seek access to the programs that are already in place, they often feel abandoned due to the realities of time and space coupled with the pressures of trying to provide for themselves and their families”.
Souvent, au moment de leur réintégration à la société civile, ils « sont mal outillés pour évaluer, reconnaître ou gérer leurs besoins [.] lorsqu’ils désirent utiliser les programmes en place, ils se sentent souvent abandonnés en raison des délais, et ils subissent la pression de subvenir à leurs besoins ainsi qu’à ceux de leur famille ».