Just before the election was called, the Secretary of State for Financial Institutions had committed to amending the bill with the conditions set out in a letter from Bernard Landry, Quebec's minister of finance and deputy premier, specifically in order to protect the specific nature of Quebec as far as its financial institutions are concerned, the National Bank in particular, in the event of a control bid by a single individual, which would be contrary to the interests of Quebec.
Juste avant le déclenchement des élections, le secrétaire d'État aux Institutions financières avait pris l'engagement de modifier le projet de loi avec les conditions contenues dans la lettre de Bernard Landry, ministre des Finances et vice-premier ministre du Québec, justement pour protéger la spécificité du Québec en matière d'institutions financières, notamment la Banque Nationale, face à une prise de contrôle d'un seul individu, ce qui irait à l'encontre des intérêts du Québec.