These gentlemen of the Central Bank act like the spokesmen for the employers who are
effectively in the process of reducing “rigidities in
labour markets” by axing thousands of jobs, such as Michelin, Renault-Nissan, Alsthom, Rhône-Poulenc, and Hoest Marion Roussel and many others even now, or by propagating the precariousness of jobs by means of wages which cast an increasing proportion of the population into ever greater poverty while the fortunes of
major shareholders continue ...[+++] to grow.
Ces Messieurs de la Banque centrale se comportent en porte-parole du grand patronat qui est, en effet, en train de "réduire les rigidités du marché du travail" en supprimant des milliers d’emplois, comme en ce moment même Michelin, Renault-Nissan, Alsthom, Rhône-Poulenc, et Hoest Marion Roussel et bien d’autres, ou en généralisant la précarité avec des salaires qui enfoncent une fraction croissante de la population dans la pauvreté pendant que la fortune des gros actionnaires s’accroît.