This unacceptable decision in respect of a party which in the June elections won 12.81% of the vote, is represented in the national parliament and has six members in the European Parliament is the last in a long series of anti-communist attacks which have taken place over the last few months in the Czech Republic. These include the recent government decision to ban the actions of the Communist Youth Union of Czechia (KSM) and violent verbal and physical attacks on Communists, in particular the beating up of Jiri Dolejs, the vice-president of the Communist Party of Bohemia and Moravia.
Cette décision inacceptable, prise contre un parti qui remporta 12,81% des voix aux élections du mois de juin, est représenté au parlement national et compte six députés au Parlement européen, vient s’ajouter à la liste, déjà longue, des attaques anticommunistes de ces derniers mois en Tchéquie: mentionnons la décision récente du gouvernement d’interdire l’Union de la jeunesse communiste de la République tchèque (KSM) ainsi que des attaques verbales et physiques violentes dont les communistes sont victimes. Exemple révélateur, le tabassage dont a été victime M. Jiří Dolejš, vice-président du parti communiste de Bohême et Moravie.