The trouble is that as we enter into a world where international law governs much of our trade, much of our economic activity and much of our obligations, and as we short-circuit the detail and definitions, we enter into areas where other legal practices, conventions and terminology start to enter into, and at times, confuse, contrast or even contradict very similarly phrased legal agreements.
De plus en plus, c'est le droit international qui régit en grande partie nos activités commerciales et économiques et nos obligations. Plus on incorpore par renvoi des définitions et d'autres éléments précis, plus des pratiques, des conventions et des termes juridiques externes risquent de venir semer la confusion et même contredire des textes juridiques au libellé semblable.