A Wall Street Journal editorial had pointed to Canada ’s large budgetary deficit and suggested that its northern neighbour was in danger of becoming a Third World country.[16] That editorial became a rallying cry, and the government through Departmental Program Review cracked down on its spending across the board in a way that no post-war government had ever dared attempt.
Un éditorial du Wall Street Journal a souligné le déficit budgétaire important du Canada et suggéré que son voisin du Nord courait le risque de devenir un pays du tiers monde15. Cet éditorial devint un cri de ralliement, et le gouvernement, dans le cadre de l’examen des programmes ministériels, sabra tous les postes de dépenses comme aucun autre gouvernement d'après-guerre n'avait osé le faire.