One of the probable explanations stems from the long plasma half-life of DTHC, which we know is eliminated slowly by an organism (up to 25 days as we saw in the Chapter 5).[74] We also note that even after administration of very high doses of DTHC, somatic signs of spontaneous withdrawal were not observed in rodents, pigeons, dogs or monkeys.[75] Lastly, we note that all in all, we know little about the biophysiological and psychological mechanisms of dependence.
L’une des explications probables tient à la demi-vie plasmatique longue du DTHC, dont on sait qu’il est éliminé lentement par l’organisme (jusqu’à 27 jours comme nous l’avons vu au chapitre 5).[74] Notons encore que, même après l’administration de doses très élevées de DTHC, des signes somatiques de sevrage spontané ne sont pas observés chez le rongeur, le pigeon, le chien ou le singe.[75] Notons enfin que l’on connaît peu, somme toute, les mécanismes biophysiologiques et psychologiques de la dépendance.