As I mentioned earlier, the STOA report of May 2001 concluded, among other things, that in the light of the epidemiological studies on persons exposed to depleted uranium in Iraq and the Balkans, among a relatively small group of soldiers, who evidently had been exposed to depleted uranium during the Gulf War, no health problems attributable to depleted uranium could be found.
Comme je l’ai mentionné auparavant, le rapport de mai 2001 du groupe de travail du Parlement évaluant les choix techniques et scientifiques a conclu, entre autres, qu’à la lumière des études épidémiologiques effectuées sur les personnes exposées à de l’uranium appauvri en Irak et dans les Balkans, au sein d’un groupe relativement restreint de soldats ayant manifestement été exposés à de l’uranium appauvri au cours de la guerre du Golfe, l’on n’a trouvé aucun problème de santé imputable à l’uranium appauvri.