In my opinion, this is best solved by understanding the limits and tensions between obedience to superiors — a closed culture not used to reporting to an external audience or responding well to external oversight and the need to have those truth-to-power discussions on problem areas between the members of the profession and those to whom they report — this body, other supervisory or regulatory bodies and, indeed, the various ministers.
À mon avis, la meilleure façon de résoudre le problème consiste à comprendre les limites et les tensions de la relation d'obéissance aux supérieurs, dans une culture fermée où on n'est pas habitué à rendre des comptes à des gens de l'extérieur ou à bien réagir à la supervision externe et au besoin de tenir de franches discussions entre les membres de la profession et ceux à qui ils rendent des comptes, c'est-à-dire ce comité, d'autres organismes de supervision ou de réglementation et, en fait, les divers ministres.