The first is that when the statute for the International Criminal Tribunal for Yugoslavia was set up, the drafters of the statute, the Security Council, were aware this argument might be raised that states could not extradite nationals, because many countries have this provision either in their criminal law, or even in their constitution.
La première est que lorsque la loi relative au Tribunal pénal international de la Yougoslavie a été élaborée, les rédacteurs, le Conseil de sécurité, savaient que cet argument pouvait être invoqué, que les États ne pourraient pas extrader des ressortissants, car un grand nombre de pays possèdent cette disposition dans leur droit criminel ou même dans leur constitution.