The feeling I have upon returning from Tunisia is an ambiguous one. On the one hand, it forces us to bear in mind that, in actual fact, Tunisia is a relatively advanced country, and even a very advanced one in a whole range of areas, as has been pointed out here, whether in terms of equality between men and women,
social security or sickness and invalidity insurance, and that, as regards the economy too, there is undoubtedly momentum, but that, alongside this, the government is unable to take on board the slightest criticism or challenge with regard to wh
...[+++]at is carried out.
Le sentiment qui est le mien en revenant de Tunisie est un sentiment ambigu, qui, d’une part, nous force à considérer qu’effectivement la Tunisie est un pays relativement avancé, même très avancé dans toute une série de domaines, comme on l’a rappelé ici, que ce soit en matière d’égalité entre les hommes et les femmes, de sécurité sociale ou d’assurance maladie-invalidité, que, sur le plan économique aussi, il y a un dynamisme certain, mais qu’à côté de cela, le régime est incapable d’accepter la moindre critique, la moindre contestation de ce qui est fait.