Today, for example, in both Canada and the U.S., corporations that are publicly traded must file corporate disclosure documents that compel the most intimate corporate information that runs from 150 to 300 pages of disclosure in the SEC's so-called 10-K report, or its analog, the Ontario Securities Commission reports filed with SEDAR.
Aujourd'hui, par exemple, aussi bien au Canada qu'aux États-Unis, les sociétés qui sont cotées en bourse doivent déposer des documents d'information qui contiennent des renseignements corporatifs les plus confidentiels et qui contiennent entre 150 et 300 pages de renseignements que l'on retrouve dans le rapport 10-K de la SEC ou de son homologue, la Commission des valeurs mobilières de l'Ontario dont les rapports sont déposés à l'aide du SEDAR.