On the issue of whether the a duty of care was owed to the plaintiff as an investor, the House of Lords held that, while one could foresee that a company’s financial statements would fall into the public domain and be relied on for investment or other purposes, there was no " proximity" between the public and the auditors.
Quant à la question de savoir si la demanderesse était visée par l’obligation de diligence en tant qu’investisseur, la Chambre des lords a statué que, même s’il était possible de prévoir que les états financiers de la société seraient du domaine public et seraient utilisés à des fins d’investissement, par exemple, il n’y avait pas de «lien étroit» entre le public et les vérificateurs.