Given the small percentage of homosexual people in Canadian society, the smaller percentage of gay people living in a common-law relationship and the even smaller percentage of gay people living in a common law relationship who would claim spousal benefits, the experts surveyed agree that costs would only go up by 0.5 to 1.5 per cent, depending on the various benefits being considered.
Or, considérant le faible pourcentage de personnes homo-sexuelles dans la société canadienne, considérant le pourcentage encore plus faible de personnes homosexuelles vivant en union de fait et considérant le nombre toujours encore plus faible de personnes homosexuelles vivant en situation d'union de fait qui réclamerait effectivement des avantages sociaux pour leur conjoint, les experts recensés concluent, de façon consensuelle, que les coûts additionnels seraient minimes, soit de l'ordre de 0,5 à 1,5 p. 100, selon les différents avantages sociaux considérés.