Second, the Court holds that the condition of residence required by Luxembourg legislation amounts to indirect discrimination on grounds of nationality in so far as it is liable to operate mainly to the detriment of nationals of other Member States, as non-residents are in the majority of cases foreign nationals.
Ensuite, la Cour constate que la condition de résidence requise par la réglementation luxembourgeoise constitue une discrimination indirecte fondée sur la nationalité dans la mesure où elle risque de jouer principalement au détriment des ressortissants des autres États membres, les non-résidents étant le plus souvent des non-nationaux.