Moreover, when the Council of the OAS sent the Draft American Convention to
the Inter-American Commission on Human Rights for study, in 1966, the Commissi
on decided to “take into special consideration th
e experience of the European countries which approved the European Convention on Human Rights and Basic Freedoms, and the discussions held during the preparation of the draft United Nations
...[+++]Covenants on Human Rights”.[38] Although witnesses before this Committee argued that some of the language of the American Convention is foreign to a Canadian understanding of the law[39], the language used in many of the Convention’s provisions is very similar to the language of the European Convention.De plus, lorsque le Conseil de l’OEA a envoyé le projet de Convent
ion américaine à la Commission interaméricaine des droits de l’homme pour étude, en 1966, la Commission a décidé «d’accorder une attention particulière à l’expérience des pays européens qui ont app
rouvé la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, et aux discussions qui ont eu lieu durant l’élaboration des Pactes relatifs aux droits de l’homme des Nations Unies».[38] Bien que des témoins aient allégué devant ce Comité que l
...[+++]e langage de la Convention américaine est parfois étranger à la conception canadienne du droit[39], il semble y avoir une grande similarité de langage entre un bon nombre des dispositions de la Convention et celles de la Convention européenne.