And yet the widespread practice of channelling most of the aid through a plethora of international organisations, IFIs, regional development banks, NGOs, private contractors and not through central government continues, and much of the aid tends to be lost at different points along the supply chain.
Malgré ce constat, la pratique généralisée consistant à canaliser la majeure partie de l'aide via une multitude d'organisations internationales, d'institutions financières internationales, de banques de développement régional, d'ONG, de contractants privés, et non pas via le gouvernement central, se poursuit, et une bonne part de l'aide a tendance à se perdre à différents niveaux le long de la chaine d'approvisionnement.