Today, historians writing from our universities and Op-Ed pages make the usual mentions of kazoos, whistle-blowing and filibusters to cover and obscure the ugliness of shouts of " despicable bastard," mock attacks on the Speaker, and fist-shaking threats described in contemporary accounts of the procedural battles and round-the-clock sittings that left the Senate in chaos from October 9 to December 14, 1990.
Aujourd'hui, les historiens qui écrivent dans les publications universitaires et dans les pages en regard des éditoriaux font habituellement allusion aux mirlitons, aux sifflets et aux autres instruments d'obstruction systématique pour dissimuler et cacher la laideur des cris de «misérables bâtards», des simulacres de charges contre le fauteuil du Président, des menaces proférées le poing brandi que l'on trouve décrits dans les comptes rendus contemporains des chicanes de procédure et des séances qui duraient 24 heures d'affilée qui ont plongé le Sénat dans le chaos du 9 octobre au 14 décembre 1990.