If the minister truly believes that we are in the forefront of the world in terms of environmental protection and environmental safety and operations in this kind of oil and gas activity, then what does he have to fear from a transparent process that would allow stakeholders or others, other than the government officials, to examine the issues and pronounce on them?
Si le ministre croit vraiment que nous sommes à l'avant-plan, dans le monde, en matière de sécurité et de protection environnementales dans le domaine de l'exploitation pétrolière et gazière, qu'a-t-il à craindre? Pourquoi craint-il d'autoriser un processus transparent qui permettrait aux principaux intéressés et à d'autres, mis à part les représentants du gouvernement, d'examiner ces questions et de faire connaître leur avis?