Yet I guess the first question I'd like to get into, in looking at the CSIS practice of compiling this information, the security certificate process itself, and the jigs and reels, for lack of a better expression, that have to be followed in order to collect and manifest this type of evidence, is this: are we really down to a process that has set the bar very high in the admissibility of this evidence in a regular court process?
Pourtant, la première question que je veux vous poser concerne les méthodes du SCRS en matière de compilation des renseignements et du processus de délivrance des certificats de sécurité, les dédales, si vous me passez l'expression, à suivre pour recueillir et présenter ce genre de preuves. Voici ma question : Le processus place-t-il la barre haute pour ce qui est de la recevabilité de la preuve dans un processus judiciaire ordinaire?