This text was condemned not only by the United Nations High Commissioner for Human Rights, Amnesty International, the International Human Rights Federation, the European Trade Union Confederation, the Commission of the Bishops’ Conferences of the European Community and the fledgling Latin American democracies but also by eminent figures who are least likely to be suspected of excessive severity towards the European Union, such as Jacques Delors.
Ce texte a été condamné non seulement par la Haut commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, par Amnesty international, par la Fédération internationale des droits de l'homme, par la Confédération européenne des syndicats, par la Commission des épiscopats de la Communauté européenne, par les Jeunes démocraties d'Amérique latine, mais par des personnalités aussi peu suspectes de sévérité excessive envers l'Union que Jacques Delors.