On the organization and synchronization of campaign planning, that smart defence you talked about as something that can be problematic in terms of what capabilities a country has and whether you can count on it at the time that you need it when you're concentrating force or whatever you happen to be doing at that time—and the greyware, where I think the Canadian Forces.Sir, I don't know if you would agree with me on this, but throughout the seventies and eighties, of course.When we were still fighting the Second World Wa
r, everything was a left- and right-flanking kind of scenario. We've come a long, long way since then, and I think that
...[+++] having nothing was actually something positive in the later nineties and in recent decades, because it taught our people to be extremely innovative and to deal with things they didn't have.Quant à l'organisation et à la synchronisation de la planification des campagnes, cette défense intelligente dont vo
us avez dit qu'elle peut poser problème par rapport aux capacités dont un pays dispose et la possibilité de compter sur elles au moment où vous en avez besoin alors que vous concentrez vos forces ou peu importe ce que vous faites à ce moment — et le capital intellectuel, où je crois que les Forces canadiennes.Monsieur, je ne sais pas si vous serez d'accord avec moi, mais tout au long des années 1970 et 1980, bien sûr.Quand nous combattions encore dans la Deuxième Guerre mondiale, la planification se résumait encore à décide
...[+++]r d'attaquer sur le flanc droit ou sur le flanc gauche et je crois que le fait de manquer de tout a eu une incidence plutôt positive à la fin des années 1990 et au cours des dernières décennies, parce que nos gens ont dû apprendre à être extrêmement innovateurs et à composer avec ce qui leur manquait.