The Authority concluded that the human exposure to amino acids through food is in orders of magnitude higher than the anticipated levels of exposure from their use as flavouring substances and that nine of the substances, including L-leucine, were not of safety concern at their estimated levels of intake as flavouring substances.
L'Autorité a conclu que l'exposition humaine aux acides aminés par le biais de l'alimentation présentait des ordres de grandeur supérieurs aux taux d'exposition résultant de leur utilisation comme substances aromatisantes et que neuf de ces substances, y compris la L-leucine, ne soulevaient pas d'inquiétude en matière de sécurité à leurs niveaux de consommation estimés en tant que substances aromatisantes.