That is why I would invite him—as well as provincial government representatives—to learn more from the Government of Quebec about the current practice that the Office de la protection du consommateur has overseen for almost 20 years, a practice that limits payday loan interest rates to about 35% in Quebec and that has helped curb development in the payday loan sector.
Dans ce but, je voudrais l'inviter — lui-même ou des représentants des gouvernements provinciaux concernés —, à s'informer auprès du gouvernement du Québec de la pratique actuelle qui est gérée par l'Office de la protection du consommateur depuis bientôt 20 ans et qui limite les prêts sur salaire à environ 35 p. 100 au Québec, de sorte que l'industrie du prêt sur salaire ne s'est presque pas développée.