Vertaling van "Misab " (Engels → Frans) :

TERMINOLOGIE

Inter-African Mission to Monitor the Implementation of the Bangui Agreements | MISAB [Abbr.]
Mission interafricaine chargée de surveiller l'application des Accords de Bangui | MISAB [Abbr.]

Inter-African mission to monitor the implementation of the Bangui Agreements | Misab [Abbr.]
Mission interafricaine de surveillance des accords de Bangui | Misab [Abbr.]

IN-CONTEXT TRANSLATIONS

MINURCA will take over from MISAB, an acronym for the current UN mission there.
La MINURCA prendra la place de la MISAB, l'acronyme de la mission de l'ONU qui existe actuellement.

I think, by and large, the impression is that MISAB, the force that's in place now, has done a very credible job.
Dans l'ensemble, je pense que l'impression est que la MISAB, la force qui est actuellement en place a fait un très bon travail.

Under the terms of a 1997 peace accord rebels and forces loyal to the president agreed to establish a multinational Mission Interafricaine de Surveillance de l'Application des Accords de Bangui. MISAB's job was to maintain peace and security in the capital city Bangui and to monitor the implementation of the peace agreement.
Conformément aux termes de l'accord de paix de 1997, les rebelles et les forces loyales au président ont convenu d'établir une Mission multinationale interafricaine de surveillance des accords de Bangui, dont le mandat était d'assurer la paix et la sécurité dans la capitale, Bangui, et de surveiller l'application de l'accord de paix.

This agreement also established the Mission Interafricaine de Surveillance de l'Application des Accords de Bangui, or commonly referred to as MISAB.
Ce texte établissait également la Mission interafricaine de surveillance de l'application des accords de Bangui, souvent appelée la MISAB.

By early 1998 with MISAB's mandate winding down and long planned withdrawal of French military forces underway, it was clear that further international assistance was needed to keep the Central African Republic on a even keel.
Lorsque le mandat de la mission tirait à sa fin, au début de 1998, et que le retrait planifié depuis longtemps des forces militaires française était en cours, il est devenu clair qu'une autre aide internationale serait nécessaire pour que la République centrafricaine garde le cap.