The first suggestion of using a mixed plutonium and uranium oxide (MOX) fuel in a Canadian reactor came from 1993 studies conducted by the U.S. National Academy of Sciences in collaboration with Atomic Energy of Canada Limited when assessing the most effective options for the disposition of surplus weapons plutonium.
C'est à la suite des études menées en 1993 par la National Academy of Sciences des É.-U., en collaboration avec Énergie atomique du Canada Limitée, sur l'évaluation des options qui permettraient d'éliminer le plus efficacement possible les excédents de plutonium des armes nucléaires, qu'on a eu l'idée d'utiliser un combustible constitué d'un mélange d'oxyde de plutonium et d'uranium (combustible MOX) dans un réacteur canadien.