In support of the existing system, he noted that some 75 per cent of Canadians participate in legalized forms of gambling, that the incidence of problem gambling is low (and relates more to the personality of the individual than the type of gambling undertaken), that gambling revenue has become important for governments, charities and businesses and, for some (including First Nations communities) gambling has become a road to economic development.
À la défense du système existant, il a fait observer que 75 p. 100 environ des Canadiens s'adonnent à des formes légales de jeu, que les problèmes de jeu sont peu courants (et sont plus liés au caractère de la personne qu'au type de jeu), que le jeu constitue une importante source de profits pour les gouvernements, les oeuvres de bienfaisance et les entreprises et qu'il est même devenu un moyen de développement économique, notamment pour les communautés des Premières nations.