On the one hand, fragmented financing may have a positive effect in that a number of sources can be tapped. As a result, on the other hand, of mandatory co-financing and a ‘pick and choose’ approach in rural and structural policy, for instance, only Member States making this conscious choice actually use these funds for biodiversity purposes.
Si ce financement morcelé peut avoir des effets positifs en mobilisant différentes sources, l'obligation de cofinancement et l'approche "à la carte" proposée, par exemple, par les politiques agricole et structurelle ont pour conséquence que seuls les États membres qui le choisissent délibérément affectent réellement ces ressources au profit de la biodiversité.