Yet he does not seem to be offended at all by the notion that by acting alone and by involving the corporate sector, particularly if that corporate sector comes to be American owned and therefore would have rights under chapter 11 of the NAFTA, Alberta might, by doing what I have just described, be imposing a burden on the rest of the country.
Or, il ne semble pas du tout offusqué à l'idée que l'Alberta agisse seule et sollicite la participation du secteur privé. Il ne s'inquiète pas du fait que si les entreprises deviennent des propriétés américaines, elles auront le droit, en vertu du chapitre 11 de l'ALENA, en procédant comme je viens de l'indiquer, d'imposer un fardeau au reste du Canada.