Why should we, in Quebec, put up with the risk that a foreign investor could get 50% plus one of the shares of the National Bank, thus taking control of that institution, moving its head office and its decision making centre elsewhere, eliminating specialized jobs and adversely affecting Quebec's economy?
Pourquoi nous, au Québec, accepterions-nous de courir le risque qu'un investisseur étranger accapare plus de 50 p. 100 plus une des actions de la Banque Nationale, dispose du contrôle sur cette banque, envoie son siège social et son centre de décisions ailleurs, qu'il fasse disparaître les emplois spécialisés, qu'il nuise à la bonne marche de l'économie du Québec, et cela pourrait arriver?