I would also like to say that if the United States wishes to become the world’s last open-air museum of old technology – and I stress the word ‘old’- as it is refusing to start developing climate-friendly solutions, something we cannot do anything about, the European Union must, despite that, become the world’s leading region in this regard, and we can nevertheless invite the United States to join us in implementing this climate policy, which is one that also makes for good business.
Je dirais d’ailleurs que si les États-Unis veulent devenir le dernier musée en plein air de la vieille technologie, je dis bien de la "vieille" technologie, parce qu’ils refusent de mettre au point des solutions sans danger pour le climat - ce contre quoi nous ne pouvons rien faire - l’Union européenne doit, malgré cela, devenir la zone leader dans ce domaine et nous devons tout de même inviter les États-Unis à participer à cette politique climatique, qui permettra aussi de faire de bonnes affaires.