The fact that the privatisation of the post office or the railways in those countries of Europe where this has already taken place has demonstrated that the first to suffer from this are the public sector workers and service users, since private operators are ready to sacrifice absolutely everything except their profits, does not prevent the rapporteur’s making so bold as to guarantee that “current safety levels” for rail will be maintained, despite the evidence to the contrary.
Le fait que la privatisation de la poste ou des chemins de fer dans les pays européens où elle a déjà eu lieu ait montré que les premières victimes en sont les travailleurs du secteur public et les usagers, car les opérateurs privés sont prêts à tout sacrifier sauf leurs profits, n'empêche pas le rapporteur d'oser garantir, pour le rail, "le niveau de sécurité actuel" au mépris de la réalité.