They preferred this practice to the widespread habit of white workers of using alcohol and opiate-based drugs to cure illnesses and to momentarily forget their social and working conditions.[17] Thus the first opium den opened its doors in Vancouver in 1870.
Ils préféraient cette pratique à celle largement répandue chez les travailleurs blancs de la consommation d’alcool ou de médicaments à base d’opiacés afin de guérir une maladie ou d’oublier momentanément leurs conditions sociales ou professionnelles.[17] Ainsi, la première fumerie d’opium a ouvert ses portes à Vancouver en 1870.