I think that because sex workers, certainly in a Canadian context, have had such a negative relationship with the state in terms of oppressive laws and indeed oppressive municipal licences, there is a fair degree of justifiable concern that licensing of individual workers would become another means of oppressive state control.
À mon avis, c'est parce que les travailleurs du sexe, dans le contexte canadien en tout cas, ont eu des rapports négatifs avec l'État, qui se traduisent par des lois oppressives et des arrêtés municipaux contraignants, qu'ils s'inquiètent, dans une certaine mesure à juste titre, que l'octroi de licences à des travailleurs individuels devienne un autre instrument de contrôle oppressif de l'État.