The test, of course, as in all family law matters, is “what's in the best interests of the child?” If we're serious about maintaining the best interests of the child, it follows that we have to recognize the strength of the parental bond that exists with lesbian, gay, and bisexual parents and ensure that the bond is respected in the same way it is with heterosexual parents.
Comme dans toutes les questions de droit familial, l'argument critique, c'est ce qui constitue le meilleur intérêt de l'enfant. Si nous sommes sincères sur ce point, nous devons reconnaître la force du lien parental qui existe entre un enfant et un parent homosexuel, masculin ou féminin, et bisexuel, et veiller à ce que ce lien soit respecté au même titre qu'il l'est avec des parents hétérosexuels.