In short, I believe that for G-21 the political achievement of making its presence felt, coupled with trade interests that were defensive, even if legitimate in the WTO context, finally outweighed the otherwise real attractions of a success on agriculture.
Pour le G21, le poids combiné du succès politique de l’affirmation de son existence et de préoccupations défensives qui, pour être de nature mercantile, n’en sont pas moins légitimes à l’OMC a donc, selon moi, pesé plus lourd sur l’agriculture que les perspectives d’un succès pourtant attirant.