Presently employed Canadians who decide to return to university to obtain post-graduate degrees, should be allowed, through tax policies, to deduct not only the tuition fees, but also the capital borrowed and the interest over a period of years in a somewhat similar fashion to the depreciation on equipment in a firm.
Actuellement, les employés canadiens qui décident de retourner à l'université pour obtenir des diplômes d'études supérieures, devraient pouvoir, grâce aux politiques fiscales, déduire non seulement leurs frais de scolarité mais également le capital emprunté ainsi que l'intérêt durant un certain nombre d'années, un peu comme c'est le cas pour amortir l'équipement d'une entreprise.