The provision of reducing the current two-year sentence length to a period of more than six months has to do with the denial of access to the Immigration Appeal Division to permanent residents who are sentenced in Canada to more than six months of imprisonment.
La disposition qui ramène le critère de durée de la peine, actuellement de deux ans, à plus de six mois est liée au refus de donner accès à la Section d'appel de l'immigration aux résidents permanents qui sont condamnés, au Canada, à une peine d'emprisonnement de plus de six mois.