In summary, my position then is not privatization and quotas for their own sake but a variety of property rights systems for the larger change they will invoke in moving us from this outdated, confrontational and concentrated regulatory regime to a more distributed, participatory and integrated management system.
Bref, je préconise non pas la privatisation et les quotas pour eux-mêmes, mais bien plutôt une diversité de régimes de droits de propriété en raison de la transformation majeure qu'ils nous obligeront à réaliser: en effet, nous devrons passer du régime désuet, concentré et axé sur la confrontation que nous avons aujourd'hui à un régime de gestion mieux réparti, intégré, à caractère participatoire.