In this case, and due to the fact that this is an unoriginal proposal for ‘protecting the interests of consumers’, it goes back to arguing that free trade is the be-all and end-all of consumer interests, thus making, once again, a profession of faith in the virtues of the free market. In truth, it is more relevant to the rights and interests of businesses than to those of the consumer.
Dans le cas présent, et compte tenu du fait qu’il s’agit d’une proposition de «protection des intérêts des consommateurs» qui n’a rien d’original, cela revient au final à affirmer que le libre-échange est tout ce qui compte pour les consommateurs, ce qui constitue une fois de plus une profession de foi vantant les mérites du libre marché. En réalité, cette proposition est plus bénéfique aux droits et aux intérêts des entreprises qu’à ceux des consommateurs.