We also found that second-generation women, who experience exclusion while growing up in Canada because of their race, ethnicity or religion, were more likely to pursue a university education, whereas for men, it was not significant and moved them in a negative direction.
Nous avons également constaté que les filles d'immigrants qui avaient grandi au Canada et qui avaient vécu l'exclusion en raison de leur race, de leur origine ethnique ou de leur religion, étaient plus nombreuses à faire des études universitaires. Chez les hommes, cette expérience avait moins d'importance et avait tendance à leur faire adopter une voie négative.