Police organizations, such as the Canadian Association of Chiefs of Police, are generally in favour of maintaining the firearms
registry, as police query it up to 5,000 times a day to determine whether a gun might be encountered in a situation, such as one involving a barricade or domestic violence (42) Others, however, have pointed out that this number of hits is misleading, given that every search of the Canadian Police Information Centre (CPIC) system, regard
less of the reason, generates an automatic search of the firearms registry
...[+++] (43) It has also been argued that police cannot be certain that guns are not at a particular scene, given that there are errors in the database and that many people have failed to register (44)Des organisations policières, comme l’Association canadienne des chefs de police, sont généralement en faveur du maintien du registre des armes à feu, puisque la police l’interroge jusqu’à 5 000 fois par jour pour déterminer si une arme pourrait être utilisée dans diverses situations, comme une barricade ou la violence familiale(42). D’autres ont cependant fait observer que ce nombre d’interrogations est trompeur, étant donné que toute interrogation dans le système du Centre d’information de la police
canadienne (CIPC), quelle qu’en soit la cause, déclenche automatiquement une interrogation dans le registre des armes à feu(43). D’autres
...[+++]encore ont également soutenu que la police ne peut pas être certaine qu’il n’y a pas d’armes à feu lorsqu’elle doit intervenir, puisqu’il y a des erreurs dans la base de données et qu’un grand nombre de personnes n’ont pas enregistré leurs armes(44).